Ce mystérieux terrains d'aventure à la végétation bien dépeignée
entoure un caveau pour des morts prétentieux répugnant à se mêler à la populace gisant dans le cimetière d'en face , sous la protection de la chapelle d 'une bienveillante , mais tardive et peu efficace " Notre-Dame de la Santé " .
Un jour passé , un homme a fièrement posé cette pierre à l'angle de la façade d'un moulin
bien délaissé aujourd'hui .
La route monte , je me retourne vers la plaine .
La campagne devient de plus en plus austère . Les vestiges du travail des anciens , de cette grande fatigue , des gestes toujours recommencés . J'imagine leur peine s'ils retrouvaient leurs terres aussi ensauvagées .
La pente est impressionnante ,
on s'en rend mieux compte sur cette photo .
Gai ruisselet des Hautes-Corbières :
Ravines perpendiculaires à la gorge :
Arrivée surprenante sur un plateau cultivé
Les abris ne servent plus aux hommes motorisés
Je suis maintenant un sentier ;les vignes au fond sont celles de la photo précédente .
Probablement une ancienne bergerie ; pour le moment , un agréable ombrage . Il est près de 10 heures du matin et la chaleur monte .
Un peu plus haut dans la vallée
Apparition du mont Tauch . Ma dernière promenade était au pied du mastodonte , droit devant .
Passé un col , on débouche sur la plaine des Fenouillèdes ; au loin , le Canigou , puis l'Espagne que nous ne verrons pas , la route de Perpignan que l'on devine , cette route que je n'aime pas , que je prends surtout lors des rares mais pénibles expéditions vers les centres commerciaux .
J'aime la sauvagerie des hautes collines ,
leur végétation difficile . Les fleurs jaunes , au premier plan , donnent le meilleur miel qui soit , doux et parfumé .
Une bergerie partiellement ruinée , dont le toit s'effondrera à la première neige un peu lourde .
Une grande pièce pour les bêtes
Une ouverture dans le toit pour peintre de Nativité
Utilisation locale de morceaux de tuiles dans la construction des murs , la poutre qui ressort à l'extérieur est sommairement protégée .
Un petit abri pour les hommes
La plaine de Tuchan et Paziols vers laquelle le chemin descend
Ici ,les pierres deviennent galets
où , 450 000 ans plus tôt , d'autres humains devaient aussi y faire trempette si le climat le permettait , ce qui n'est pas certain ...
Le soleil commence à être violent , quelques vieux oliviers , vestiges de cultures anciennes ,survivent au milieu des vignes qui empestent les produits chimiques .
Retour à Paziols .Fin de la balade .
entoure un caveau pour des morts prétentieux répugnant à se mêler à la populace gisant dans le cimetière d'en face , sous la protection de la chapelle d 'une bienveillante , mais tardive et peu efficace " Notre-Dame de la Santé " .
Après avoir passé le cimetière , un début de promenade dans un typique paysage méditerranéen , ce qui n'a rien de surprenant puisque je ne vis pas dans l'Arctique .
La pente est impressionnante ,
Probablement une ancienne bergerie ; pour le moment , un agréable ombrage . Il est près de 10 heures du matin et la chaleur monte .
leur végétation difficile . Les fleurs jaunes , au premier plan , donnent le meilleur miel qui soit , doux et parfumé .
Vestiges de la cheminée
Au loin, le château d'Aguilar
Ici ,les pierres deviennent galets
Le Verdouble qui prend sa souce à Soulatgé creuse son lit vers Tautavel